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La crise politique brésilienne menace les droits humains

Les organisations de la société civile et les mouvements sociaux craignent que les événements politiques actuels n’aggravent encore la situation des droits humains et rappellent que c’est au peuple brésilien que revient le droit de décider du futur du pays.

Suite à la suspension controversée de la Présidente démocratiquement élue Dilma Roussef, le pays nage en eaux troubles. Le gouvernement provisoire a déjà fait part de son intention de réduire les dépenses sociales et les bénéfices sociaux et de modifier les politiques gouvernementales garantissant des avantages nominaux au salaire minimum. Entre-temps, on compte de plus en plus de cas de harcèlement et d’intimidation par les forces de police. 

Dans une déclaration conjointe, FIAN International, des organisations de la société civile et des mouvements sociaux expriment de graves inquiétudes quant à la sécurité et l’intégrité physique des défenseurs de droits humains, des mouvements sociaux et des leaders communautaires au Brésil et rappellent que toute décision sur le futur du Brésil appartient au peuple brésilien. 

Vous pouvez lire la déclaration ici

Pour plus d’information sur le sujet, contactez castaneda-flores[at]fian.org 

Pour toute question liée aux médias, contactez delrey[at]fian.org